/Paroles en gras, pensées en italique, narration en blanc italique/



Nous étions presque près. Notre Capitaine Armant le Vasseur se tenait face à nous, fier. A sa droite, Georges juste Georges tenait sa bouteille à peine entamée. Nos épées en main, près à prendre la ville de force, nous révélions aujourd'hui au monde nos vraies identités : nous étions des Bandioù ! Pirates sans âmes, mais solidaires suite au naufrage de notre beau navire La Mouette Nocturne.
Moi, Kurun, si jeune parmis cet équipage sentais l'exitation montée... Seuls Chochotte la Fiote et la Sauvageonne n'étaient pas mes aînés, et ils paraissaient pourtant si sûrs d'eux.
Vicente à mon côté me rassura par sa présence. Il veillerai sur moi si j'en avais le besoin. Je ne m'était pas beaucoup entraînée mais la hargne de cet équipage me donna du courage. L'ordre était donné, chacun dans sa calèche : nous prendrions la ville de force, par la mer. Ma calèche était conduite par la fière Avelig, nous avions rejoint l'équipage un peu plus tôt, ensemble et je savais pouvoir lui faire confiance.

Arrivées devant l'embarcadère (notre situation de PSNF - Pirates Sans Navire Fixe- nous obligeait à emprunter ce vil moyen de transport), nous attendîmes notre Capitaine, Georges juste Georges et notre esclave pendant longtemps. Grâce à la technologie pirate, nous apprîmes que leur calèche les avaient emmenés de l'autre côté de la ville et nous furent donc obligés de monter dans le navire sans eux.

-Nous réquisitionnons ce navire matelot !

Le pauvre marin, dépité et amusé à la fois nous permis de faire la traversée sans donner d'écus. La ville fortifiée devenait alors la notre, proposant aux passants divers combats d'épée pour gagner leur survie.
Quand ce fut à mon tour de me saisir d'une arme, le stress m'empli.
Vicente tendit son arme à mon adversaire, une jeune femme d'environ 25 ans et je pris l'arme du barbare.
Avelig et Vicente m'encouragèrent, ainsi que mon Capitaine. Après tout, c'était pour lui que je combattais ici !
Je me mis en position, le Barbare rappela les règles du combat et le mouchoir tomba...
Esquivant le premier coup, je jouais avec mes jambes comme je me souvenais. Je la touchi une première fois, puis une deuxième. Je fus cependant surprise de la dextérité avec laquelle la belle face à moi maniait son arme. Elle me toucha une première fois et je m'éloignis alors pour revenir combattre au centre de l'arène improvisée.

Venez par ici que je vous achève Mademoiselle !

J'avais compris sa technique et elle la mienne, nous nous battions donc "dans le vide" évitant les coups de l'autre.

-C'est bien un combat de femme pour être si intéressant et fourbe dans la technique ! lança le Barbare.

Pressée d'en finir, je choisi une toute nouvelle technique, prenant beaucoup de risuqe mais misant tous sur la surprise que produirai mon coup. Sûre de moi, je fis dos à mon adversaire et m'accroupi soudainement pour asséner un grand coup dans les tibias de mon adversaire. Je venais de la touché une troisième fois et mon équipage m'acclamais ! Je venais de remporter le combat.


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=D oh quelle histoire!!!

Une victoire bien mérité!!

La suiteeeeee!!